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Quand Ferrat réchauffait le cœur des embastillés iraniens
Replonger dans mes souvenirs de 1988, l’année terrible du massacre des prisonniers politiques iraniens, est chose pénible. Mais le décès de Jean Ferrat et la demande d’un camarade iranien ont fait que j’ai pris la plume pour écrire ces quelques lignes.
En cette année-là, plus de 12 000 prisonniers (...)