Un important fragment du mal a quitté ce monde où le mal est omniprésent. Que Videla meure aujourd’hui, ce n’est pas grave. Tout le mal qu’il voulait faire, il l’a fait. Tous les êtres humains qu’il a voulu tuer, il les a tués. Peu lui ont échappé.
Qu’il meure jugé, emprisonné, vilipendé, c’est important. Qu’il meure en étant un symbole de la mort, l’est aussi. Qu’il meure en affirmant ses sombres convictions révèle de la cohérence, mais une cohérence qui, chez lui, n’est pas la rigueur (…)
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Argentine
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Videla, le général des ténèbres.
21 mai 2013 -
Une usine sans patron
28 janvier 2013Expérience unique à NEUQUÉN (région Rio Negro).
Une entreprise de céramique sous contrôle ouvrier, une usine sans patron (FaSinPat : Fábrica Sin Patrón. Ex Zanón) où tous les ouvriers gagnent le même salaire, qu’ils travaillent dans la production ou l’administration (comptabilité-trésorerie). Sauf que l’ancienneté est prise en compte, par exemple l’homme de ménage Enrique, 60 ans, touche un peu plus que le jeune Victor, le coordinateur d’un des secteurs de la boîte. Idem ceux qui font (…) -
La nationalisation de YPF, filiale de Repsol (1), par le gouvernement argentin
18 avril 2012Le capitalisme espagnol est horrifié par la récupération au nom du peuple argentin d’une compagnie qui fut longtemps compagnie publique argentine et qui, depuis la privatisation, exploite les richesses du sous sol argentin pour le plus grand profit de quelques actionnaires... Quelques précisions historiques et économiques parues d’Alberto Garzon et traduites par Gérard.
Le gouvernement d’Argentine, présidé par Cristina Fernandez de Kirchner, a confirmé les rumeurs de ces derniers jours, (…) -
Bussi, le sinistre
29 novembre 2011Domingo Bussi est mort. Une des plus sinistres figures de notre histoire. Non, on ne commet aucune exagération quand se référant à lui on dit : "Le général Bussi, le sinistre". Il suffit seulement de parcourir sa biographie pour le constater. La perfidie de ses crimes atteint l’inimaginable. Et là vient la question que nous ne nous sommes pas encore posée : où apprit Bussi son métier de tuer en toute impunité ? Au Collège Militaire, à l’Ecole Supérieure de Guerre ou lors de ses séjours au (…)
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La révolte des esclaves de Buenos Aires.
8 juillet 2006Ils sont boliviens et travaillent dans des ateliers de confection sordides de la capitale argentine. Malgré la peur et les pressions, une association leur vient en aide et recueille leurs témoignages.
Buenos Aires.
De l’extérieur, ces immeubles ressemblent à n’importe quels autres de la capitale argentine.
Mais, à l’intérieur, ce sont des prisons pour Boliviens sans-papiers, contraints de travailler dix-huit heures par jour, du lundi au samedi, dans de déplorables conditions (…)